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« Le cor de basset restitue bien les graves de la version originale et apporte à l’Opus 102 une onctuosité mais aussi une gouaille qui rend parfaitement justice à l’Humor schumannien, si présent dans ce cycle, tandis que la clarinette, instrument romantique par excellence pour lequel il a d’ailleurs laissé un important triptyque de Fantasiestücke, est tout à à son aise dans les pages lyriques de l’Opus 94 »